A la différence de Patrick, ce n’est pas place des grands hommes et pas tous les 10 ans que l’Apéro du Jeudi se donne son petit rendez-vous annuel pour un apéro pique-nique au coeur de Paris. « On s’était dit rendez-vous dans un an, même jour, même heure, même pomme. » Comme beaucoup d’entre nous, je reste fasciné par cette petite place très chic, très parisienne qu’est la place Dauphine. Appelée le sexe de Paris à cause de sa forme triangulaire, elle termine quasiment l’Ile de la Cité, cachée par de jolis immeubles et avec à sa base le palais de justice. C’est aussi là que les derniers templiers se sont fait brûlé vif. Ambiance.
Les boulistes avaient cette année bien occupé les lieux mais notre spot à nous était dispo : les marches du petit square. Au début on s’est senti un peu seul avec Max…
Mais rapidement les fidèles, les nouveaux sont venus trinquer sur les marches avec nous. Chacun a bien été généreux en victuaille ! On notera l’excellente quiche de Gabi, mes cacahuètes au wasabi #Asie, et bien entendu les insectes grillés de Jimini’s, représenté par la symathique Raphaëlle. D’ailleurs Juliette n’a pas hésité une seconde…
Un apéro international avec le fidèle Maaaaaaaaarteen représentant la Hollande, qui nous a fait le bonheur de venir trinquer avec nous pour sa petite semaine de vacances (Maarteen vie maintenant à La Haye mais il était l’un de nos piliers il y a quelques années), Stefania, qui défend toujours haut les couleurs de l’Italie et Gabi et Pratt représentants du peuple khmer à l’apéro !
La place Dauphine fait évidemment parti de nos spots sur Paris pour apéro pique-nique.
Un très bel apéro, bien dans l’esprit de nos apéros pique-nique, où le petit rosé, les spécialités de chacun, ont transformé petit à petit les discussions en fous rires et… partitions de musique grâce au talent de Philippe. Oui j’ai bien écrit talent.
Je laisse conclure cette excellente soirée par Anita, qui n’a pas son pareil pour terminer les soirées de l’apéro…
La place Dauphine a fini par reprendre sa vie, son calme, sous l’ombre imposante du palais de justice…