Jeudi dernier on est allé découvrir le petit bar qui anime le quartier de la Guillotière : la Faute Ours. Pas loin de la célèbre fausse aux ours, l’ancien emplacement de l’énorme rond-point avant le pont de la Guillotière, ce petit bar fait beaucoup parler de lui dans les nuits lyonnaises. Il fallait que l’Apéro du Jeudi y aille poser ses pintes ! On vous fait découvrir ?
La Faute aux Ours : ambiance plage et tiki
A La Faute aux Ours, ce qui frappe d’abord quand on pousse la porte, c’est la déco dans le style tiki ou bar de plage caribéen qui vous met tout de suite dans de bonnes dispositions pour une soirée animée !
Petites tables en bas, grands canapés et fauteuils cosy en haut, que l’on soit seul, à 2 ou en groupe, on trouve forcément un coin où se caler confortablement. Et si on en vient à jouer des coudes avec les voisins, affluence oblige, c’est encore mieux car on se fait facilement de nouveaux amis dans ce bar, surtout après quelques rhums arrangés bien tassés !
L’équipe de feu de la Faute aux Ours
Côté animation, l’équipe y est aussi pour beaucoup : Charlotte, la jeune et jolie patronne qui a su faire d’une ancienne friterie un des lieux les plus animés du 7ème arrondissement de Lyon et qui vous mettra tout de suite à l’aise !
Et puis son acolyte Mathieu, le barman déluré, qui maîtrise le service au comptoir comme un pro. A eux 2, ils dégainent pintes, cocktails et shooters plus vite que la musique ! Cette dernière était plutôt rock’n roll ce soir là, mais nul doute que dans ce domaine aussi, l’éclectisme est roi !
Coup de coeur pour la pizza de l’amour
Enfin si on est pris par une fringale subite ou qu’on a besoin d’éponger un peu, y a de quoi faire avec des assiettes classiques ou la fameuse « Pizza de l’amour » pour les plus aventureux… Testée et approuvée par nos apéroclubbers ! Et puis ce qui est bien avec la Faute aux Ours, c’est que si on rentre éméché, on a une excuse toute trouvée !
Bref, c’est notre gros coup de coeur de ce début d’année, et on lui décerne sans hésitation aucune notre label « Apéro du jeudi ».